Après quelques hésitations à balader nos indexes sur la carte du monde en espérant que ceux ci s’arrêtent sur une destination propice à l’escalade en automne, nous voilà décidé pour un séjour en Turquie.
Mis à part le nom du site de grimpe le plus populaire du pays (au nom imprononçable, “Geyikbayiri“), nous serons forcer de reconnaître que notre culture du pays est pitoyable. Ce site, situé dans la région d’Antalya, est très apprécié des grimpeurs Allemands, Suisses, … mais nous y avons rencontré peu de compatriotes. Pourtant tout est fait pour que le grimpeur passe de bonnes vacances: accès rapide, voies de difficultés et de styles variés, rocher souvent exceptionnel. Nous étions logé au “Climbers Garden” qui propose différentes solutions d’hébergement dans une ambiance sobre mais sympatique. Pour les adeptes du tourisme solidaire, sachez que ce camping est géré par des “locaux”.
En combinant bus et autostop, il est possible de rejoindre Olympos en 2h. Haut lieu du tourisme estival, cette citée antique de bord de mer est déserte en automne. La marche d’approche vers le secteur de Cennet serpente entre les vestiges, le mont Olympos nous surveille, les Chimères brulent! Les transports en communs et marchés locaux permettent de sortir de l’aseptie des lieux touristiques: oranges, grenades, et épinards semblent vivre paisiblement sur l’étalage. La république laïqe turque a dû s’inspirer de cet étalage.
Bafa Gölu est la prochaine destination. Après une nuit partagée entre transport (7h30 de voiture depuis Antalya, 2h au sud d’Izmir) et orage infernal sous la tente, nous découvrons le Lac de Bafa dominé par des crêtes granitiques qui ont laissé échapper des milliers de blocs vers le lac. Pêcheurs, cueilleurs d’olive et chiens errants nous observent brosser, grimper et tomber depuis de belles boules de granite (à très gros grains). En toile de fond: l’immense lac, les oliviers, tombeaux et ruines de la cité d’ Herkleia (le nom actuel du village
est Kapikiri). Dans cette étendue de blocs, les secteurs déjà parcourus sont difficiles à identifier. Nous avons laissé un schéma d’accès au secteur classique à la pension Pellican (pas de site internet). La Turquie moderne d’Antalya est bien loin, les rencontres sont authentiques!
Après quelques hésitations à balader nos indexes sur la carte du monde en espérant que ceux ci s’arrêtent sur une destination propice à l’escalade en automne, nous voilà décidé pour un séjour en Turquie.
Mis à part le nom du site de grimpe le plus populaire du pays (au nom imprononçable, “Geyikbayiri“), nous serons forcer de reconnaître que notre culture du pays est pitoyable. Ce site, situé dans la région d’Antalya, est très apprécié des grimpeurs Allemands, Suisses, … mais nous y avons rencontré peu de compatriotes. Pourtant tout est fait pour que le grimpeur passe de bonnes vacances: accès rapide, voies de difficultés et de styles variés, rocher souvent exceptionnel. Nous étions logé au “Climber Garden” qui propose différentes solutions d’hébergement dans une ambiance sobre mais sympatique. Pour les adeptes du tourisme solidaire, sachez que ce camping est géré par des “locaux”.
En combinant bus et autostop, il est possible de rejoindre Olympos en 2h. Haut lieu du tourisme estival, cette citée antique de bord de mer est déserte en automne. La marche d’approche vers le secteur de Cennet serpente entre les vestiges, le mont Olympos nous surveille, les Chimères brulent! Les transports en communs et marchés locaux permettent de sortir de l’aseptie des lieux touristiques: oranges, grenades, et épinards semblent vivre paisiblement sur l’étalage. La république laïqe turque a dû s’inspirer de cet étalage.
Bafa Gölu est la prochaine destination. Après une nuit partagée entre transport (7h30 de voiture depuis Antalya, 2h au sud d’Izmir) et orage infernal sous la tente, nous découvrons le Lac de Bafa dominé par des crêtes granitiques qui ont laissé échapper des milliers de blocs vers le lac. Pêcheurs, cueilleurs d’olive et chiens errants nous observent brosser, grimper et tomber depuis de belles boules de granite (à très gros grains). En toile de fond: l’immense lac, les oliviers, tombeaux et ruines de la cité d’ Herkleia (le nom actuel du village est Kapikiri). Dans cette étendue de blocs, les secteurs déjà parcourus sont difficiles à identifier. Nous avons laissé un schéma d’accès au secteur classique à la pension Pellican (pas de site internet). La Turquie moderne d’Antalya est bien loin, les rencontres sont authentiques!
Après quelques hésitations à balader nos indexes sur la carte du monde en espérant que ceux ci s’arrête sur une destination propice à l’escalade en automne, nous voilà décidé pour un séjour en Turquie.
Mis à part le nom du site de grimpe le plus populaire du pays (au nom imprononçable, “Geyikbayiri“), nous serons forcer de reconnaître que notre culture du pays est pitoyable. Ce site, situé dans la région d’Antalya est très apprécié des grimpeurs Allemands, Suisses, … mais nous y avons rencontré peu de compatriotes. Pourtant tout est fait pour que le grimpeur passe de bonnes vacances: accès rapide, voies de difficultés et de styles variés, rocher souvent exceptionnel. Nous étions logé au “Climber
Garden
En combinant, bus et autostop,il est possible de rejoindre Olympos en 2h. Haut lieu du tourisme estival, cette citée antique de bord de mer est déserte en automne. La marche d’approche vers le secteur de Cennet serpente entre les vestiges, le mont Olympos nous surveille, les Chimères brulent! Les transports en communs et marchés locaux permettent de sortir de l’aseptie des lieux touristiques: oranges, grenades, et épinards semblent vivre paisiblement sur l’étalage. La république laïqe turque a dû s’inspirer de cet étalage.
Bafa Gölu est la prochaine destination. Après une nuit partagée entre transport (7h30 de voiture depuis Antalya, 2h au sud d’Izmir) et orage infernal sous la tente, nous découvrons le Lac de Bafa dominé par des crêtes granitiques qui ont laissé échapper des milliers de blocs vers le lac. Pêcheurs, cueilleurs d’olive et chiens errants nous observent brosser, grimper et tomber depuis de belles boules de granite (à très gros grains). En toile de fond: l’immense lac, les oliviers, tombeaux et ruines de la cité d’ Herkleia (le nom actuel du village est Kapikiri). Dans cette étendue de blocs, les secteurs déjà parcourus sont difficiles à identifier. Nous avons laissé un schéma d’accès au secteur classique à la pension Pellican (pas de site internet). La Turquie moderne d’Antalya est bien loin, les rencontres sont authentiques!